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lundi

Aujourd'hui, on cause enjeux des sous-stations électriques mobiles

Salut la compagnie, Gildas au micro ! L'ingénieur qui sent encore l'ozone des transformateurs, de retour pour une session live qui va grésiller comme un arc électrique mal isolé.

Imaginez-moi, Gildas, en tenue de chantier – salopette tachée de graisse diélectrique et casque qui a vu plus de courts-circuits que de dimanches pluvieux.




Aujourd'hui, on cause enjeux des sous-stations électriques mobiles. Parce que ouais, en 2025, avec les tempêtes qui frappent plus fort qu'un marteau-piqueur en pleine manif, et les grids qui toussent comme un vieux diesel, ces bestioles portables sont le sauveur en kit. Pas de blabla théorique : on va décortiquer les enjeux techniques, avec un zeste d'humour noir (genre, "votre frigo qui fond pendant que le réseau fait la sieste"). Et en bonus, un petit zoom sur deux gros calibres français du secteur : Schneider Electric, le mastodonte, et Aventech, le challenger malin qui monte en charge. Prêts ? On branche le jus, et action !



Les enjeux des sous-stations mobiles : Entre sauveurs high-tech et casse-tête à 10 kV

D'abord, c'est quoi une sous-station mobile ? Imaginez un bloc compact – genre un conteneur 40 pieds blindé – bourré d'un transformateur MT/BT (moyenne tension vers basse tension, typiquement 20 kV vers 400 V), de disjoncteurs SF6-free (parce que l'écologie, c'est pas du pipeau), de commutateurs automatiques et d'un SCADA embarqué pour le monitoring en temps réel via 5G ou fibre optique. Déployable en 24h pour restaurer 10-50 MW sur un réseau HS, idéal pour les blackouts post-ouragan ou les works in progress sur le grid principal. Mais les enjeux ? Oh boy, c'est un cocktail Molotov de défis techniques et sociétaux. Allons-y point par point, avec du détail qui pique.

  1. Résilience vs. Fragilité : Le paradoxe du "je bouge, mais je crains les chocs" Techniquement, ces sous-stations roulent sur des châssis renforcés (IP65 pour l'étanchéité, vibrations jusqu'à 5g), avec des busbars en cuivre gainé pour minimiser les pertes ohmiques (moins de 1 % à pleine charge). Mais l'enjeu majeur ? La robustesse face aux EMP (pulses électromagnétiques) ou aux cyber-attaques – imaginez un hacker qui flippe vos relais de protection via un zero-day sur l'IoT embarqué. En 2025, avec les normes IEC 61850 pour la communication GOOSE (Generic Object Oriented Substation Event), on intègre du chiffrement AES-256, mais ça coûte un bras : +30 % sur le CAPEX. Humour ? C'est comme un tank qui danse la samba – mobile, mais un faux pas, et c'est l'arc-over qui grille tout. Résultat : les utilities comme RTE en France visent 20 % de leur réseau "mobile-ready" d'ici 2030, pour absorber les pics de demande EV (voitures électriques) sans fondre les câbles.
  2. Éco-impact : Vert ou juste du greenwashing sur roues ? Les enjeux verts sont brûlants : ces unités pompent du jus à 95 % d'efficacité (transformateurs amorphes en Fe-based pour baisser les pertes ferromagnétiques de 70 %), mais leur transport en convoi (semi-remorques à 40 tonnes) crache du CO2 comme un V8 old-school. Ajoutez les fluides isolants – on passe du PCB toxique à de l'huile végétale biosourcée, mais recyclage ? Un cauchemar logistique, avec des filtres à particules qui bouchent après 500h d'op. Enjeu clé : l'intégration de batteries tampon LiFePO4 (pour bufferiser les fluctuations solaires/éoliennes), boostant l'autonomie à 2h en mode islandé. Mais prix ? 500 k€ l'unité, contre 200 k€ pour une fixe. Blague technique : c'est l'électronomade qui rêve de prairies infinies, mais finit par surchauffer en embouteillage autoroutier. La France, avec son mix nucléaire 70 %, pousse pour des sous-stations "zéro carbone" via le PNIEC, mais sans subventions, c'est du vent... littéralement.
  3. Coût et Scalabilité : Le nerf de la guerre, en ampères OPEX galopant : maintenance tous les 6 mois (tests de diélectrique à 50 Hz, calibration des CT/PT pour la mesure de courant/tension), plus le stockage en entrepôt (espace = or noir). Enjeu : modularité pour scaler de 1 à 10 modules en plug-and-play, via des connecteurs Harting haute tension (jusqu'à 52 kV). Mais en 2025, la pénurie de terres rares pour les aimants permanents dans les variateurs de fréquence fait grimper les tarifs de 15 %. Humour sombre : imaginez votre facture EDF qui explose parce que la sous-station mobile a décidé de faire grève pour plus de silicium. Globalement, l'enjeu est clair : booster la résilience grid (cible UE : 99,999 % uptime) sans ruiner les budgets – d'où l'essor des designs plug-in avec IA prédictive pour anticiper les pannes via ML sur données PMU (Phasor Measurement Units).

Bref, ces sous-stations mobiles, c'est le Joker du réseau électrique : salvatrices en crise, mais avec un sourire qui cache des crocs. En France, avec 1 200 incidents majeurs par an (merci Météo France), elles sauvent des GWh... mais exigent une R&D qui file à 132 kV.

Petit point sur deux géants français : Schneider et Aventech, les duettistes du courant

Passons au concret hexagonal – parce que oui, la France n'est pas que baguettes et fromages, c'est aussi du savoir-faire en haute tension qui fait baver les Allemands.

  • Schneider Electric : Le colosse qui avale les réseaux entiers Basé à Rueil-Malmaison, Schneider c'est le T-Rex des sous-stations : leader mondial avec 150 Md€ de CA, ils pondent des modules mobiles comme des petits pains. Leur gamme EcoStruxure Grid (sur base de PLC Modicon pour l'automatisation) intègre du edge computing pour une latence <50 ms en gestion de charge. Détail geek : transformateurs à huile minérale avec refroidissement forcé (ventilos + pompes), scalables jusqu'à 100 MVA, et certifiés SEV pour l'export. Enjeu pour eux ? L'IA embarquée qui prédit les surcharges via des réseaux neuronaux récurrents (RNN) sur flux de données RTU. Humour : Schneider, c'est le grand-père bourru qui dit "Dans mon temps, on réparait avec du scotch", mais qui sort des trucs plus smart qu'un thermostat Nest. Ils équipent 80 % des utilities françaises – respect.
  • Aventech : Le sprinter innovant qui slalome entre les géants Aventech, ces Auvergnats de Clermont-Ferrand (spécialistes en ingénierie custom depuis 2012), c'est le challenger qui mord les chevilles des mastodontes. Focus sur les sous-stations ultra-modulaires en conteneurs ISO, avec un twist : intégration native de microgrids hybrides (diesel + solaire + stockage ESS à 1 MWh). Techniquement, leurs commutateurs à vide (vacuum interrupters) gèrent 36 kV avec un temps de coupure <3 cycles (50 ms), et un BMS (Battery Management System) qui optimise via algos MPPT pour l'énergie verte. Enjeu ? Scalabilité low-cost pour les PME rurales, avec un prix unitaire à 300 k€ (20 % sous la moyenne). Blague : Aventech, c'est le petit frère qui invente le vélo électrique pendant que le grand construit des Formules 1 – mais attention, il va te doubler sur les côtes. Ils grimpent à 50 unités/an en 2025, boostés par des partenariats RTE pour les zones post-incendie.

Et hop, micro coupée ! Gildas out, avec les cheveux qui se dressent encore statiquement. Ces enjeux des sous-stations mobiles ? C'est l'avenir du grid : flexible, vert, mais diantrement complexe. Si vous bossez dans l'énergie, un café virtuel pour brainstormer ? Sinon, restez branchés – la prochaine blackout pourrait être la vôtre. À plus, et que le courant passe !



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5 avancées tech chinoises qui vont vous faire rigoler... et trembler pour votre job

Bonjour à tous, c'est Gildas à l'antenne ! L'ingénieur barbu qui vous parle de tech comme si on était autour d'un café – ou d'un thé vert, vu le sujet du jour.

Imaginez : moi, Gildas, avec ma casquette d'ingénieur en systèmes embarqués, planté devant un micro imaginaire, micro qui grésille comme un vieux modem 56k. Aujourd'hui, on plonge dans le tourbillon high-tech de la Chine en 2025.

Parce que franchement, pendant que l'Occident se chamaille sur des puces interdites, Pékin nous sort des trucs qui font passer nos gadgets pour des silex taillés à la main. On va causer de 5 avancées tech chinoises qui vont vous faire rigoler... et trembler pour votre job. Humour au menu : je promets zéro blagues sur les pandas, mais peut-être une sur les robots qui nous piqueront nos places de parking. Détails techniques ? Évidemment, parce que je suis pas là pour vous vendre du vent – j'ai un doctorat en "comment ça marche sans exploser". Allons-y, en live, comme si j'étais en plateau avec un fond vert de la Grande Muraille !

1. DeepSeek-R1 : Le LLM qui boit du thé au lieu de bouffer des milliards en électricité



Ah, les grands modèles de langage ! Chez nous, on en a des qui coûtent plus cher à entraîner qu'un divorce de rockstar. Mais en Chine, DeepSeek sort le R1 en janvier 2025, et c'est le slapstick de l'IA : un modèle de raisonnement massif (LRM) avec 671 milliards de paramètres... mais qui n'en active que 37 par requête, grâce à une architecture Mixture-of-Experts (MoE). Résultat ? 97,3 % d'exactitude sur le benchmark MATH-500, et 79,8 % sur AIME 2024 – du niveau d'un ChatGPT-4o, mais entraîné en 55 jours avec 2 000 GPU Nvidia H800 pour... 5,6 millions de dollars. Moins de ressources que nos mastodontes occidentaux (40 % de calcul en moins !), et open-source sous licence MIT. Imaginez : votre assistant vocal qui calcule π à 100 décimales sans faire fondre votre PC. Humour inside : si DeepSeek était un super-héros, ce serait "L'Économe Masqué", capable de résoudre des équations différentielles pendant qu'il trie vos chaussettes. La Chine, usine mondiale du GenAI low-cost ? Ouais, et nous, on paie l'addition.

2. Les Robotaxis : Adieu Uber, bonjour le taxi qui rêve de circuits imprimés




Pékin n'attend pas les feux verts réglementaires pour foncer : en 2025, les robotaxis niveau 4 (L4) – c'est-à-dire autonomes à 99,9 % sans humain au volant – roulent dans au moins 65 villes chinoises. Testés sur 32 000 km de routes dédiées, ils coûtent maintenant assez peu pour être rentables, avec 20 trajets par jour en moyenne. Baidu's Apollo Go en tête, boosté par des capteurs LiDAR fusionnés à des caméras 8K et des algos de deep learning qui prédisent les piétons suicidalistes (ou presque). Techniquement, c'est du SLAM (Simultaneous Localization and Mapping) en temps réel, avec une latence sous les 100 ms grâce à des edge-computers sur ARM. Humour ? Imaginez : votre robotaxi qui vous dit "Désolé, monsieur, mais avec ce trafic, je préfère calculer la route optimale via un graphe de Dijkstra plutôt que d'écouter votre playlist de variété française". Et nous, en Europe ? On discute encore de "qui paie l'assurance si le robot klaxonne mal". Chine 1, monde 0.

3. eVTOL : Les voitures volantes qui font de l'air pur... et des envieux

Oubliez les hélicos polluants : l'eVTOL (Electric Vertical Take-Off and Landing), ou "low-altitude economy", décolle pour de bon en 2025. eHang obtient les premières licences pour fabriquer et piloter ces taxis volants, avec un objectif de 10 000 unités à Shenzhen d'ici 2030. Xpeng monte la première ligne d'assemblage moderne, avec des moteurs électriques distribués (8 rotors pour la stabilité) et des batteries lithium-soufre à densité énergétique de 500 Wh/kg – deux fois mieux que nos Tesla au sol. Contrôle de vol ? Du PID avancé couplé à de l'IA pour éviter les oiseaux (ou les drones concurrents). Humour technique : c'est comme si votre drone Amazon livrait des humains, mais sans le risque de se planter dans un arbre parce que l'algo a confondu un corbeau avec un QR code. Et le gouvernement chinois crée un ministère dédié ? Pendant qu'on débat du bruit des drones chez nous, eux volent déjà vers l'avenir. Attention, le trafic aérien va être plus bouché que la rocade de Pékin un lundi matin !

4. Huawei Ascend 910C : La puce qui dit "Sanctions ? Quelle sanctions ?"

Huawei, ce rebelle des semi-conducteurs, sort l'Ascend 910C en 2025 pour contrer les interdictions US. C'est deux processeurs 910B fusionnés en un seul package : double puissance de calcul et mémoire, au niveau du Nvidia H100 pour certains workloads. Dans le système CloudMatrix 384 (384 puces sur 16 racks), on atteint 300 petaFLOPs en précision BF16... mais ça bouffe 559 kW – de quoi alimenter un petit village pendant que ça crunch des datasets massifs. Rendement de production à 60 %, avec plus d'un million de puces sorties depuis 2023. Techniquement, c'est du CXL (Compute Express Link) pour scaler horizontalement, et des cœurs Da Vinci optimisés pour le tensor flow en FP16. Humour ? Imaginez la puce qui murmure à Nvidia : "T'as vu, j'ai pas besoin de ton export license pour te battre à plates coutures". Résultat : la Chine réduit sa dépendance aux US de 50 % en AI hardware. Nos data centers ? Toujours en train de supplier pour des H100 au marché noir.

5. Robots humanoïdes : Vos futurs collègues qui ne prennent pas de pause café

À la World Robot Conference 2024 à Pékin (oui, l'ambiance était "Retour vers le futur" puissance 10), les robots humanoïdes chinois font un carton : Unitree lance la première ligne de production de masse, pour usines et logistique. Prix ? 3 000 $ pour un "robo-chien" contre 75 000 $ chez Boston Dynamics. Boostés par du GenAI pour causer, penser et apprendre comme un humain (modèles comme WuDao 3.0 pour le multimodal), avec des actionneurs servos à 360° de liberté et des capteurs IMU pour la stabilité. En 2025, ils intègrent des bras robotisés avec 7 DoF (degrés de liberté) pour manipuler des objets fragiles, via des réseaux neuronaux convolutifs (CNN) entraînés sur des datasets de 10 millions d'interactions. Humour noir : bientôt, votre boss sera un robot qui vous dira "Gildas, recalcule ce flux de données ou je te remplace par un algo plus efficace". Et nous ? On en est encore aux aspirateurs Roomba qui se cognent dans les meubles. Chine, leader mondial en robotique ? 70 % du marché NEV, et bientôt 80 % des jobs manuels automatisés.

Et voilà, mes chers auditeurs virtuels ! La Chine en 2025, c'est pas juste du copié-collé industriel – c'est du "New Quality Productive Forces" qui transforme "Made in China" en "Mind-Blown in China". Moi, Gildas, je rentre la tête pleine de circuits et le ventre vide : qui m'offre un dim sum ? Si vous voulez plus de détails techniques (ou une démo de mon robot-barista maison), commentez ci-dessous. Restez curieux, restez connectés – et rappelez-vous, la tech avance plus vite qu'un eVTOL en pleine accélération. À la prochaine, over and out


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dimanche

Le Hyperloop chinois : une révolution dans les transports

Le Hyperloop chinois marque une révolution dans les transports à grande vitesse ! En tant qu’ingénieur passionné, je suis émerveillé par ce prototype de train à sustentation magnétique, testé avec succès à 1032 km/h dans un tube sous vide de 2 km à Datong, Shanxi. Développé par China Railway et China Aerospace Science and Industry Corporation, ce projet surpasse les ambitions d’Elon Musk abandonnées en 2023. Grâce à la lévitation magnétique, la friction est éliminée, et le tube sous vide réduit la résistance de l’air à un niveau quasi nul, permettant une accélération fulgurante.




La liaison Pékin-Shanghai, longue de 1200 km, passe de 4h30 en train classique à 1h30, soit une moyenne de 800 km/h en conditions réelles ! Les défis techniques, comme la stabilité à ces vitesses et l’étanchéité du tube, ont été surmontés avec des tolérances de 0,3 mm sur les rails et un système de suspension AI. Avec une extension prévue à 60 km pour tester 1000 km/h d’ici 2026, ce projet pourrait redéfinir la mobilité mondiale. Incroyable !


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jeudi

Exigences électriques pour les industries françaises et mondiales



Introduction : Les exigences électriques dans les industries jouent un rôle crucial pour assurer la sécurité, l'efficacité et la conformité des installations. En France et à l'échelle mondiale, ces exigences sont définies par des normes internationales, notamment celles publiées par la Commission Électrotechnique Internationale (CEI), adaptées aux contextes locaux. Cet article explore les principales normes et leurs applications dans les industries françaises et mondiales.


La norme CEI 61439 est une norme internationale qui définit les exigences pour les ensembles d'appareillage à basse tension, avec une tension maximale de 1000 V en courant alternatif ou 1500 V en courant continu. Publiée par la Commission Électrotechnique Internationale (CEI), elle remplace l'ancienne norme CEI 60439 depuis 2014 et vise à garantir la sécurité, la fiabilité et les performances des tableaux électriques dans les installations industrielles et tertiaires. Elle est structurée en plusieurs parties, dont la partie 1 (règles générales) et les parties 2 à 7 (exigences spécifiques selon les applications, comme les tableaux de puissance ou de distribution). Elle impose des critères stricts de conception, de vérification (tests, calculs ou comparaison) et de compatibilité, assurant une protection contre les contacts directs et une tenue aux conditions sévères.



Source https://aventech-e.com/normes-tgbt-et-reglementation/



Normes clés en France

En France, la norme de référence pour les installations électriques est la NF C 15-100, qui s'applique aux habitations, locaux industriels, tertiaires et établissements recevant du public. Pour les ensembles d'appareillage à basse tension, la NF EN 61439 (dérivée de la CEI 61439) est essentielle. Elle remplace la norme NF EN 60439 depuis 2014 et impose des exigences strictes en matière de conception, de vérification (par tests ou calculs) et de sécurité, notamment contre les contacts directs et les courts-circuits. Cette norme est structurée en plusieurs parties, la partie 1 définissant les règles générales et les parties 2 à 7 couvrant des applications spécifiques comme les tableaux de puissance ou les ensembles de chantier.

Contexte mondial

À l'échelle internationale, la CEI 61439 sert de base pour harmoniser les exigences électriques des industries. Elle s'applique aux ensembles d'appareillage avec une tension maximale de 1000 V en courant alternatif ou 1500 V en courant continu, garantissant une compatibilité mondiale. D'autres normes, comme la CEI 60364 (série), abordent l'efficacité énergétique et la sécurité des installations électriques, tandis que la CEI 60947 complète les exigences pour les appareils de commande et de protection. Ces normes sont adaptées localement, par exemple via des normes nationales comme la BS EN 61439 au Royaume-Uni ou la UL 508A aux États-Unis.

Exigences spécifiques




Sécurité : Protection contre les surcharges, les courts-circuits et les contacts directs, avec des distances d'isolement définies.



Vérification : Les fabricants doivent fournir des justificatifs de conception et des procès-verbaux d'essais, remplaçant les anciens concepts d'homologation (TSK/PTSK).



Efficacité énergétique : La CEI 60364-8-1 encourage l'optimisation de la consommation, un enjeu croissant dans les industries mondiales.



Conditions environnementales : Résistance aux températures extrêmes (+40 °C max) et à la compatibilité électromagnétique.

Applications industrielles


Dans les industries françaises, comme l'automobile ou l'aéronautique, la conformité aux normes NF EN 61439-2 (ensembles de puissance) est courante pour les tableaux électriques. À l'échelle mondiale, des secteurs comme l'énergie ou les infrastructures (gares, aéroports) adoptent ces standards pour assurer la fiabilité, notamment dans des conditions sévères. La synergie avec des normes comme la CEI 62443 (cybersécurité industrielle) devient également pertinente face aux risques numériques.

Conclusion

Les exigences électriques pour les industries françaises et mondiales reposent sur un cadre normatif robuste, avec la CEI 61439 comme pilier central. En France, la NF C 15-100 et la NF EN 61439 garantissent une sécurité et une performance adaptées, tandis que les normes internationales favorisent une standardisation globale. L'évolution vers une efficacité énergétique et une cybersécurité renforcée reflète les besoins actuels d'un monde industrialisé



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mercredi

Les avancées technologiques chinoises impressionnent le monde de la tech :

En 2025, cinq avancées technologiques chinoises impressionnent le monde de la tech :

  • les ptis Progrès en intelligence artificielle (IA) : Des entreprises comme DeepSeek rivalisent avec des modèles occidentaux tels que ChatGPT, avec des coûts de développement nettement inférieurs, accélérant la démocratisation de l'IA.
  • Batteries increvables de Huawei : Une innovation avec une autonomie de 3000 km et un temps de charge complet en 5 minutes redéfinit les standards des véhicules électriques.
  • Hyperloop à sustentation magnétique : La Chine a atteint 1000 km/h dans un tube à vide, surpassant les projets occidentaux abandonnés, comme celui de Musk.(mais qui marche ;-)  mdr) 
  • Chips photoniques révolutionnaires : Une technologie avec plus de 100 canaux lumineux et une puissance de 2560 TOPS, sans surchauffe, menace la suprématie des GPU de NVIDIA.
  • Miniaturisation robotique militaire : Un robot bionique de la taille d’un moustique pour la reconnaissance sur le champ de bataille montre une avancée spectaculaire en robotique.
  • Ces percées, soutenues par des investissements massifs et une stratégie d’autonomie technologique, placent la Chine en tête de la course mondiale à l’innovation.


  1. Progrès en intelligence artificielle (IA)
    • Exemple : DeepSeek a lancé "DeepSeek V3", un modèle d'IA capable de générer du texte et des images avec une précision de 92 % sur des benchmarks comme MMLU, surpassant GPT-4o dans des tâches multilingues. Utilisé par Baidu pour optimiser la recherche en ligne, il a réduit les coûts de traitement de 40 % par rapport aux modèles américains.
  2. Batteries solides de Huawei
    • Exemple : Huawei a intégré sa batterie solide dans l’Aito M9, un SUV électrique lancé en mars 2025. Lors d’un test à Shanghai, le véhicule a parcouru 3100 km sans recharge, avec une charge complète en 4 minutes 58 secondes, démontrant une autonomie record pour les trajets interurbains.
  3. Hyperloop à sustentation magnétique
    • Exemple : China Railway a testé avec succès un prototype d’hyperloop à Chengdu, atteignant 1032 km/h le 15 juin 2025. Ce train, surnommé "Dragon Volant", relie désormais Pékin à Shanghai en 2 heures, contre 4h30 en avion, avec une capacité de 1200 passagers.
  4. Chips photoniques révolutionnaires
    • Exemple : Huawei a dévoilé le "PhotonCore 500" en mai 2025, une puce photonique utilisée dans le supercalculateur "Tianhe-3". Avec 2688 TOPS et une dissipation thermique quasi nulle, elle a permis de simuler un climat mondial en 3D en temps réel, une première mondiale.
  5. Miniaturisation robotique militaire
    • Exemple : En avril 2025, l’Armée populaire de libération a présenté un robot espion "MosquitoBot" lors d’un exercice à Xinjiang. Pouvant voler à 20 km/h et transmettre des données en 5G sur 5 km, il a été testé avec succès pour surveiller des zones des amis .


Ces exemples illustrent l’impact concret de ces innovations chinoises sur les industries et la sécurité mondiale en 2025.




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vendredi

Qui est Contemporary Amperex Technology

C'est le plus grand fabricant de batteries pour véhicules électriques en Chine, Contemporary Amperex Technology Ltd (CATL), a récemment révélé son intention de construire une usine de batteries en Hongrie pour un coût de 7,34 milliards d'euros (50,79 milliards de yuans).




Une fois terminé, ce sera la plus grande usine de fabrication de cellules de batterie en Europe. Ce sera "le plus gros investissement jamais réalisé dans l'histoire de la Hongrie", a déclaré le gouvernement hongrois. Bien qu'ils aient publiquement dit « Non », le gouvernement hongrois porte une attention particulière aux schémas d'investissement des entreprises chinoises. Certains médias étrangers ont déclaré que la Hongrie avait reçu "le plus gros investissement de l'histoire" parce qu'elle "soutenait la Chine", ce qui est quelque peu amer.

Y a-t-il une raison particulière pour laquelle CATL a décidé de s'implanter en Hongrie ? Ceux qui ont un sens aigu des affaires reconnaîtront immédiatement qu'il s'agit d'une ligne de conduite tout à fait standard. Étant donné que la Hongrie est située au centre de l'Europe et possède une base industrielle solide, les entreprises chinoises peuvent plus facilement atteindre et répondre aux besoins de leurs consommateurs européens. De plus, le gouvernement hongrois et le climat des affaires sont assez stables, ce qui est particulièrement important pour les entreprises chinoises.

Le guanxi et la culture réseau controversée en Chine

Le guanxi est une caractéristique fondamentale, mais controversée, de la société chinoise. Cet article examine les attitudes du public à l'égard de l'équité du guanxi et comment la réforme du marché chinois affecte ces attitudes. La nature chargée de réciprocité et sensible aux liens du guanxi entre en conflit avec l'objectif d'efficacité d'une économie de marché. La désapprobation du guanxi augmente donc à mesure que la marchandisation progresse. Les résultats de l'enquête sociale générale chinoise de 2008 montrent que le guanxi est plus susceptible d'être considéré comme injuste dans les endroits où les niveaux de commercialisation sont plus élevés. Le gradient éducatif diminue avec la marchandisation et le changement est plus prononcé chez les personnes travaillant dans le secteur marchand que chez les personnes travaillant dans le secteur public. Mes conclusions suggèrent que la réforme du marché chinois augmente la désapprobation du public envers le guanxi.




L'histoire de la Chine a été marquée - contrairement à la croyance populaire d'un État autocratique et centralisé - par d'intenses bouleversements politiques, des catastrophes naturelles, des difficultés économiques et un gouvernement décentralisé. La société chinoise traditionnelle était essentiellement rurale et construite autour de la famille. Le confucianisme, croyance culturelle dominante, mettait l'accent sur l'interdépendance des liens sociaux. Les relations commerciales et sociétales reposaient davantage sur des réseaux de confiance et d'obligations mutuelles que sur des lois fortes et codifiées.
Guanxi est un système fondamental de liens sociaux transactionnels en Chine qui a une forte base émotionnelle basée sur des relations de parenté et de pseudo-parentalité. 


Guanxi met l'accent sur les obligations et la réciprocité


c'est une caractéristique fondamentale de la société chinoise


Une économie de marché légitime la règle d'équité par la perception de la loyauté d'un échange. L'échange marchand nécessite la distribution des ressources et des récompenses pour refléter la rareté et l'importance des biens et des compétences. En revanche, le guanxi approuve une règle de renqing, qui met en évidence la réciprocité et l'endettement comme moyens de maintenir l'harmonie dans un ordre social hiérarchique. Ce système de distribution des ressources a créé un système de clientélisme de parti obligeant les gens à nouer des relations avec des fonctionnaires et à échanger leur loyauté politique contre des récompenses matérielles et symboliques. La Chine est passée d'une économie planifiée à une économie de marché. Le passage à une économie de marché pourrait faciliter les changements dans les croyances des gens sur l'équité, ce qui pourrait à son tour modifier leurs attitudes envers le guanxi. En effet, des signes visibles de changements d'attitude (par exemple, la promotion de l'équité et la légitimation des inégalités) sont apparus au début de l'ère des réformes. Les slogans officiels, par exemple, incluaient "Le temps c'est de l'argent, l'efficacité c'est la vie [shi jian jiu shi jin qian, xiao lv jiu shi sheng ming]" et "Laissez certains s'enrichir d'abord".

source 


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samedi

Un parc sportif en Chine

Le studio Team BLDG, basé à Shanghai, a réalisé une série d'installations pour les visiteurs d'un parc sportif à Pazhou, dans la province du Guangdong, avec des espaces creusés dans un monticule artificiel aux murs de béton.




Situé le long d'une promenade pavée sur le front de mer de Pearl River, le projet "The Earth" combine un accueil des visiteurs, des toilettes, des vestiaires, un magasin d'équipement et des toilettes publiques.

Contrairement aux développements urbains denses qui surplombent le site, l'équipe BLDG a voulu que le centre favorise une relation plus étroite avec le paysage et l'eau, ce qui a guidé la création d'un monticule artificiel dissimulant les nouveaux espaces.

Image de la Terre qui a été construite le long du front de mer

Les monticules artificiels ont été conçus par l'équipe BLDG et contiennent des installations pour un parc sportif

"En partant de la ligne de mouvement paysager existante, notre conception entend répondre à deux types d'activité de foule : autour et à travers l'architecture", a expliqué un membre du club d'affaires parisien 

"Par conséquent, nous avons "empilé" un espace vert naturellement surélevé au-dessus du paysage d'origine, puis nous l'avons "coupé" avec des chemins en forme de croix."

"Avec la construction en terre, l'architecture se fond dans la nature et s'intègre simplement au paysage original du parc des sports", a-t-il poursuivi.

Canal de couloirs en béton entre les monticules à la Terre

Nommé The Earth, le projet est situé le long du front de mer de Pearl River
Les espaces sont organisés autour de la coupe diagonale profonde du monticule, qui crée une cour et un petit jardin en son centre auxquels on accède par des marches et une rampe.

Ces sentiers pavés agissent comme un prolongement des voies riveraines existantes, menant à un parc à l'est et à des terrains de sport à l'ouest.Machines et Technologie

dimanche

Le secteur immobilier chinois en difficulté en 2022

Le secteur immobilier chinois connaît un démarrage difficile en 2022, alors que certains des développeurs les plus en vue du pays luttent pour se sortir d'une crise qui s'aggrave depuis des mois.

Cette semaine, deux grandes agences de notation de crédit ont rétrogradé le développeur Shimao Group basé à Shanghai plus loin en territoire indésirable. La société est aux prises avec une dette croissante et envisage de vendre certaines propriétés pour réduire son endettement. source CNN

SHIMAO


"La liquidité de Shimao s'est considérablement détériorée - la baisse est pire que ce que nous avions prévu auparavant", a déclaré S&P Global Ratings, qui a abaissé la note de crédit de la société à B-. Il y a à peine deux mois, S&P évaluait encore Shimao comme étant de qualité investissement. "Nous estimons maintenant que la liquidité de l'entreprise est faible." Au cours du week-end, le média chinois Caixin a rapporté que Shimao avait mis en vente tous ses projets immobiliers nationaux alors que l'entreprise à court d'argent s'efforçait de vendre ses actifs. Shanghai Shimao International Plaza, l'un des plus hauts gratte-ciel situés au cœur de Shanghai, pourrait être vendu aux entreprises publiques de la ville pour plus de 10 milliards de yuans (1,6 milliard de dollars), selon le rapport.
Mardi, Shimao a nié dans un dépôt à la bourse de Hong Kong avoir conclu un accord préliminaire sur la cession de Shanghai Shimao International Plaza.
Mais il a reconnu qu'il était en pourparlers avec des acheteurs potentiels au sujet de certaines ventes d'actifs.
La société « peut envisager de céder certaines propriétés si les termes et conditions sont appropriés », a-t-il ajouté.
La pression sur Shimao marque un énième accroc pour l'immobilier chinois, en crise depuis un moment. La crise a commencé en 2020, lorsque Pékin a commencé à réprimer les emprunts excessifs des promoteurs dans le but de freiner leur fort effet de levier et de freiner l'emballement des prix de l'immobilier. Mais le problème s'est considérablement aggravé l'automne dernier alors qu'Evergrande – le développeur le plus endetté de Chine avec quelque 300 milliards de dollars de dettes – a commencé à alerter de manière plus urgente sur les problèmes de liquidité.

Evergrande 

Evergrande a depuis été qualifié de défaillant par Fitch Ratings après avoir semblé manquer de payer certaines obligations financières le mois dernier. Les représentants du gouvernement sont également désormais impliqués dans le comité de gestion des risques nouvellement créé de l'entreprise, une décision largement perçue comme guidant l'entreprise à travers une restructuration de sa dette et des opérations commerciales tentaculaires.
La Chine va devoir changer ses priorités explique les business men chinois du Chinese Business club, club d'affaire à Paris. 

Shimao était autrefois considéré comme un développeur en meilleure santé que ses rivaux lourdement endettés. Mais au cours du dernier mois, il a subi une déroute des obligations et des actions alors que les problèmes d'endettement se sont propagés dans le secteur immobilier.
Les actions du groupe Shimao ont chuté de plus de 20 % au cours du mois dernier.
Le groupe Shimao a un grand nombre de dettes arrivant à échéance en 2022, dont 1,7 milliard de dollars d'obligations offshore, 8,9 milliards de yuans (1,4 milliard de dollars) d'obligations onshore et des prêts bancaires offshore "importants", selon Moody's.
Mais la société fait des "progrès lents" en matière de levée de fonds et de refinancement, augmentant les incertitudes quant à sa capacité à rembourser sa dette, selon Moody's. L'agence de notation prévoit également que les ventes immobilières de Shimao diminueront "notablement" au cours des six à 12 prochains mois, impactées par l'affaiblissement de la confiance des acheteurs.
Les analystes de S&P s'attendent également à ce que la liquidité de Shimao se détériore davantage.
"La société est confrontée à des risques de refinancement accrus en raison de conditions réglementaires toujours strictes, outre l'accès aux marchés des capitaux sensiblement affaibli", ont-ils déclaré.

Kaisa et Fantasia

D'autres promoteurs, dont Kaisa et Fantasia, sont également aux prises avec les retombées de la tourmente du secteur immobilier, car le ralentissement croissant du marché immobilier, associé à l'aversion au risque des banques et des investisseurs, rend plus difficile pour eux le refinancement.
Mardi, les analystes de Morningstar ont déclaré que le stress de liquidité dans le secteur immobilier chinois pourrait devenir une "spirale descendante" en raison de toutes les dégradations de la cote de crédit, ce qui empêchera encore plus les développeurs d'accéder aux marchés des capitaux.
"Pour rétablir la confiance dans le secteur, les autorités devraient soutenir les efforts de financement de meilleurs noms comme Shimao, qui s'est conformé" aux directives réglementaires financières, a écrit Cheng-wee Tan, analyste actions senior chez Morningstar, dans une note de recherche.
Le gouvernement chinois a pris des mesures pour contenir le ralentissement immobilier, y compris la décision des autorités locales de travailler avec Evergrande sur la gestion des risques.

La Banque populaire de Chine a réduit le montant de liquidités que les banques doivent détenir en réserve le mois dernier, libérant 1 200 milliards de yuans (188 milliards de dollars) pour les prêts aux entreprises et aux ménages. Quelques jours plus tard, la banque centrale a abaissé son principal taux d'intérêt pour la première fois en 20 mois, intensifiant ses efforts pour stimuler une croissance plus lente.
Tan a déclaré que les autorités pourraient également fournir un soutien spécifique aux "meilleurs noms" de l'industrie, par exemple en ordonnant aux entreprises publiques d'acheter des actifs à ces développeurs.

Machines et Technologie

DJI et 7 autres entreprises chinoises sur la liste noire des investissements

L'action d'aujourd'hui met en évidence la manière dont les entreprises privées des secteurs chinois des technologies de défense et de surveillance coopèrent activement avec les efforts du gouvernement pour réprimer les membres des groupes ethniques et religieux minoritaires », a déclaré Brian Nelson, sous-secrétaire au terrorisme et au renseignement financier. "Le Trésor reste déterminé à garantir que le système financier américain et les investisseurs américains ne soutiennent pas ces activités."
La nouvelle était largement attendue après avoir été rapportée pour la première fois par le Financial Times plus tôt cette semaine.




DJI 


DJI et les sept autres sociétés figurent déjà sur la liste des entités américaines, ce qui signifie qu'il leur est interdit d'acheter des produits américains ou d'importer des technologies américaines sans licence spéciale.
Des dizaines d'entreprises et d'organisations chinoises ont été ajoutées à cette liste noire d'exportation par le département américain du Commerce jeudi, dans le but de limiter l'utilisation par la Chine des technologies américaines à des fins militaires et pour des violations présumées des droits de l'homme.
Les annonces jumelles de jeudi sont intervenues une semaine après que le Trésor a imposé des sanctions économiques similaires contre deux politiciens chinois et une société d'intelligence artificielle chinoise
Le fabricant de drones a refusé de commenter avant l'annonce du Trésor américain mercredi. Au lieu de cela, il a renvoyé CNN Business à une déclaration précédente faite en réponse à des restrictions antérieures en décembre dernier, lorsqu'il a déclaré qu'il n'avait "rien fait pour justifier son inscription sur la liste des entités".
DJI a ajouté à l'époque qu'il « évaluait également les options pour garantir que nos clients, partenaires et fournisseurs sont traités équitablement », sans plus de précisions. Il a refusé de fournir une mise à jour ou de commenter ces plans cette semaine.
La dernière répression de Washington pourrait créer des problèmes de financement pour le fabricant de drones parvenu, qui est une société privée et dont le siège est à Shenzhen.
DJI compte actuellement parmi les investisseurs des poids lourds de la Silicon Valley tels que Sequoia Capital China et Kleiner Perkins. Sequoia Capital China a refusé de commenter et Kleiner Perkins n'a pas répondu à une demande de commentaire sur la question de savoir si la restriction compliquerait leurs investissements.

DJI  sur la liste noire des investissements


Mais selon une personne proche du dossier, l'investissement de Sequoia dans DJI est géré par Sequoia Capital China, qui opère en tant qu'entité juridique distincte de la société américaine.
Cela signifie qu'il ne serait probablement pas affecté par une restriction empêchant l'investissement américain dans DJI, a déclaré la personne.


Washington a récemment fait pression sur les entreprises chinoises.

Vendredi dernier, la startup d'intelligence artificielle SenseTime a également été touchée par la même liste noire du Trésor américain que DJI, deux ans après l'inscription d'une de ses filiales sur la liste des entités en 2019.
De même, le département du Trésor a déclaré que la décision de bloquer SenseTime était due au rôle que sa technologie aurait joué en permettant des violations des droits de l'homme contre les Ouïghours et d'autres minorités musulmanes au Xinjiang.
SenseTime a fermement nié les accusations. Mais lundi, la société a reporté ses débuts en bourse à Hong Kong, où elle devait commencer à négocier dès cette semaine.
La société a déclaré que le retard visait à "protéger les intérêts des investisseurs potentiels de l'entreprise" et à leur permettre de "considérer l'impact potentiel" de la décision américaine sur tout investissement.
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