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lundi

5 avancées tech chinoises qui vont vous faire rigoler... et trembler pour votre job

Bonjour à tous, c'est Gildas à l'antenne ! L'ingénieur barbu qui vous parle de tech comme si on était autour d'un café – ou d'un thé vert, vu le sujet du jour.

Imaginez : moi, Gildas, avec ma casquette d'ingénieur en systèmes embarqués, planté devant un micro imaginaire, micro qui grésille comme un vieux modem 56k. Aujourd'hui, on plonge dans le tourbillon high-tech de la Chine en 2025.

Parce que franchement, pendant que l'Occident se chamaille sur des puces interdites, Pékin nous sort des trucs qui font passer nos gadgets pour des silex taillés à la main. On va causer de 5 avancées tech chinoises qui vont vous faire rigoler... et trembler pour votre job. Humour au menu : je promets zéro blagues sur les pandas, mais peut-être une sur les robots qui nous piqueront nos places de parking. Détails techniques ? Évidemment, parce que je suis pas là pour vous vendre du vent – j'ai un doctorat en "comment ça marche sans exploser". Allons-y, en live, comme si j'étais en plateau avec un fond vert de la Grande Muraille !

1. DeepSeek-R1 : Le LLM qui boit du thé au lieu de bouffer des milliards en électricité



Ah, les grands modèles de langage ! Chez nous, on en a des qui coûtent plus cher à entraîner qu'un divorce de rockstar. Mais en Chine, DeepSeek sort le R1 en janvier 2025, et c'est le slapstick de l'IA : un modèle de raisonnement massif (LRM) avec 671 milliards de paramètres... mais qui n'en active que 37 par requête, grâce à une architecture Mixture-of-Experts (MoE). Résultat ? 97,3 % d'exactitude sur le benchmark MATH-500, et 79,8 % sur AIME 2024 – du niveau d'un ChatGPT-4o, mais entraîné en 55 jours avec 2 000 GPU Nvidia H800 pour... 5,6 millions de dollars. Moins de ressources que nos mastodontes occidentaux (40 % de calcul en moins !), et open-source sous licence MIT. Imaginez : votre assistant vocal qui calcule π à 100 décimales sans faire fondre votre PC. Humour inside : si DeepSeek était un super-héros, ce serait "L'Économe Masqué", capable de résoudre des équations différentielles pendant qu'il trie vos chaussettes. La Chine, usine mondiale du GenAI low-cost ? Ouais, et nous, on paie l'addition.

2. Les Robotaxis : Adieu Uber, bonjour le taxi qui rêve de circuits imprimés




Pékin n'attend pas les feux verts réglementaires pour foncer : en 2025, les robotaxis niveau 4 (L4) – c'est-à-dire autonomes à 99,9 % sans humain au volant – roulent dans au moins 65 villes chinoises. Testés sur 32 000 km de routes dédiées, ils coûtent maintenant assez peu pour être rentables, avec 20 trajets par jour en moyenne. Baidu's Apollo Go en tête, boosté par des capteurs LiDAR fusionnés à des caméras 8K et des algos de deep learning qui prédisent les piétons suicidalistes (ou presque). Techniquement, c'est du SLAM (Simultaneous Localization and Mapping) en temps réel, avec une latence sous les 100 ms grâce à des edge-computers sur ARM. Humour ? Imaginez : votre robotaxi qui vous dit "Désolé, monsieur, mais avec ce trafic, je préfère calculer la route optimale via un graphe de Dijkstra plutôt que d'écouter votre playlist de variété française". Et nous, en Europe ? On discute encore de "qui paie l'assurance si le robot klaxonne mal". Chine 1, monde 0.

3. eVTOL : Les voitures volantes qui font de l'air pur... et des envieux

Oubliez les hélicos polluants : l'eVTOL (Electric Vertical Take-Off and Landing), ou "low-altitude economy", décolle pour de bon en 2025. eHang obtient les premières licences pour fabriquer et piloter ces taxis volants, avec un objectif de 10 000 unités à Shenzhen d'ici 2030. Xpeng monte la première ligne d'assemblage moderne, avec des moteurs électriques distribués (8 rotors pour la stabilité) et des batteries lithium-soufre à densité énergétique de 500 Wh/kg – deux fois mieux que nos Tesla au sol. Contrôle de vol ? Du PID avancé couplé à de l'IA pour éviter les oiseaux (ou les drones concurrents). Humour technique : c'est comme si votre drone Amazon livrait des humains, mais sans le risque de se planter dans un arbre parce que l'algo a confondu un corbeau avec un QR code. Et le gouvernement chinois crée un ministère dédié ? Pendant qu'on débat du bruit des drones chez nous, eux volent déjà vers l'avenir. Attention, le trafic aérien va être plus bouché que la rocade de Pékin un lundi matin !

4. Huawei Ascend 910C : La puce qui dit "Sanctions ? Quelle sanctions ?"

Huawei, ce rebelle des semi-conducteurs, sort l'Ascend 910C en 2025 pour contrer les interdictions US. C'est deux processeurs 910B fusionnés en un seul package : double puissance de calcul et mémoire, au niveau du Nvidia H100 pour certains workloads. Dans le système CloudMatrix 384 (384 puces sur 16 racks), on atteint 300 petaFLOPs en précision BF16... mais ça bouffe 559 kW – de quoi alimenter un petit village pendant que ça crunch des datasets massifs. Rendement de production à 60 %, avec plus d'un million de puces sorties depuis 2023. Techniquement, c'est du CXL (Compute Express Link) pour scaler horizontalement, et des cœurs Da Vinci optimisés pour le tensor flow en FP16. Humour ? Imaginez la puce qui murmure à Nvidia : "T'as vu, j'ai pas besoin de ton export license pour te battre à plates coutures". Résultat : la Chine réduit sa dépendance aux US de 50 % en AI hardware. Nos data centers ? Toujours en train de supplier pour des H100 au marché noir.

5. Robots humanoïdes : Vos futurs collègues qui ne prennent pas de pause café

À la World Robot Conference 2024 à Pékin (oui, l'ambiance était "Retour vers le futur" puissance 10), les robots humanoïdes chinois font un carton : Unitree lance la première ligne de production de masse, pour usines et logistique. Prix ? 3 000 $ pour un "robo-chien" contre 75 000 $ chez Boston Dynamics. Boostés par du GenAI pour causer, penser et apprendre comme un humain (modèles comme WuDao 3.0 pour le multimodal), avec des actionneurs servos à 360° de liberté et des capteurs IMU pour la stabilité. En 2025, ils intègrent des bras robotisés avec 7 DoF (degrés de liberté) pour manipuler des objets fragiles, via des réseaux neuronaux convolutifs (CNN) entraînés sur des datasets de 10 millions d'interactions. Humour noir : bientôt, votre boss sera un robot qui vous dira "Gildas, recalcule ce flux de données ou je te remplace par un algo plus efficace". Et nous ? On en est encore aux aspirateurs Roomba qui se cognent dans les meubles. Chine, leader mondial en robotique ? 70 % du marché NEV, et bientôt 80 % des jobs manuels automatisés.

Et voilà, mes chers auditeurs virtuels ! La Chine en 2025, c'est pas juste du copié-collé industriel – c'est du "New Quality Productive Forces" qui transforme "Made in China" en "Mind-Blown in China". Moi, Gildas, je rentre la tête pleine de circuits et le ventre vide : qui m'offre un dim sum ? Si vous voulez plus de détails techniques (ou une démo de mon robot-barista maison), commentez ci-dessous. Restez curieux, restez connectés – et rappelez-vous, la tech avance plus vite qu'un eVTOL en pleine accélération. À la prochaine, over and out


Machines et Technologie

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